On a commencé par un exercice de mimes pour développer nos capacités à apporter de l'info à nos collègues, nos capacités d'écoute et notre capacité à mimer aussi. Le premier mime un objet. Il l'apporte au second. Quand le second a compris de quoi il s'agit, il prend l'objet et le transforme en un autre. On fait un tour et on recommence. Tout le monde a pu se rendre compte de mon incapacité à mimer ce qui n'est pas un scoop pour moi. Je ne sais pas faire une épée contrairement à tout le monde. Karine est trop bonne en mime. Quand je serai grande, je serai comme elle !
En tous cas, c'était rigolo.
Après, on a attaqué l'impro. Un sur scène. Les autres lui font des services. La première fois que je suis passée, je n'étais pas dedans. J'ai laissé tomber mon mari et mes enfants. Je suis vraiment une mauvaise épouse et une mauvaise mère. J'ai bien aimé Manu en prostituée qui dit non (elle fait pas faire beaucoup de revenus celle-là) mais surtout en caissière. On a vu plein de choses rigolotes. Phong a fait très fort en boxeuse et Baptiste s'est autodétruit. Il meurt trop bien en tombant au sol. Y'a du déblocage dans l'air. Dommage pour ceux qui n'étaient pas là, hein, Mathilde ! Nordine était plein d'énergie mais plutôt positive. J'étais contente de revoir tout le monde. Enfin, tous ceux qui étaient là.
Quand je suis repassée, j'étais une femme qui se trouvait une ride alors elle envoyait son fils (Pierre) chercher des jeunes/petites filles vierges pour les tuer et prendre un bain dans leur sang. ça allait mieux mais je suis monoémotion. En plus, je ne me suis pas laissée tuer par Pierre. C'est dingue, même pour de faux, je n'arrive pas à éteindre mon instinct de conservation.
David et Karine pense que je dois rester dans cet univers qui me va si bien (hihi) et qui n'appartient qu'à moi. Bon, y'en a bien un qui a déterré une tête dans son jardin hier mais il ne savait pas quoi en faire. Quel gâchis !! Karine m'a dit que je lui faisais penser à Misery. Bon, je vais rester dans les frappadingues. Tant pis pour les tentatives de normalité ou de caillera. Puis, je vais rester dans la raciste de base aussi. Style, dans le bateau, je me retourne vers Phong et je dis : "on se croirait dans un boat people". Ou alors "j'aime la nourriture asiatique" en la regardant quand on cherche qui on va manger.
On a essayé ensuite des huis clos : dans un ascenseur puis sur un canot de sauvetage. Et là, ce fut le drame. On parle trop fort, tous en même temps et on ne s'écoute pas. On devrait s'entraîner à ça. C'est super dur et c'est vite le souk. Argh. On va y arriver. Si si ! J'ai pas dit quand, hein.
Puis David nous a lâché pour trois semaines dans la nature. Le 23 février, c'est cabaret impro et on y sera !! Les cours reprennent le premier lundi de mars. C'est loin. On devrait se réunir et s'entraîner entre nous, non ?
En tous cas, c'était rigolo.
Après, on a attaqué l'impro. Un sur scène. Les autres lui font des services. La première fois que je suis passée, je n'étais pas dedans. J'ai laissé tomber mon mari et mes enfants. Je suis vraiment une mauvaise épouse et une mauvaise mère. J'ai bien aimé Manu en prostituée qui dit non (elle fait pas faire beaucoup de revenus celle-là) mais surtout en caissière. On a vu plein de choses rigolotes. Phong a fait très fort en boxeuse et Baptiste s'est autodétruit. Il meurt trop bien en tombant au sol. Y'a du déblocage dans l'air. Dommage pour ceux qui n'étaient pas là, hein, Mathilde ! Nordine était plein d'énergie mais plutôt positive. J'étais contente de revoir tout le monde. Enfin, tous ceux qui étaient là.
Quand je suis repassée, j'étais une femme qui se trouvait une ride alors elle envoyait son fils (Pierre) chercher des jeunes/petites filles vierges pour les tuer et prendre un bain dans leur sang. ça allait mieux mais je suis monoémotion. En plus, je ne me suis pas laissée tuer par Pierre. C'est dingue, même pour de faux, je n'arrive pas à éteindre mon instinct de conservation.
David et Karine pense que je dois rester dans cet univers qui me va si bien (hihi) et qui n'appartient qu'à moi. Bon, y'en a bien un qui a déterré une tête dans son jardin hier mais il ne savait pas quoi en faire. Quel gâchis !! Karine m'a dit que je lui faisais penser à Misery. Bon, je vais rester dans les frappadingues. Tant pis pour les tentatives de normalité ou de caillera. Puis, je vais rester dans la raciste de base aussi. Style, dans le bateau, je me retourne vers Phong et je dis : "on se croirait dans un boat people". Ou alors "j'aime la nourriture asiatique" en la regardant quand on cherche qui on va manger.
On a essayé ensuite des huis clos : dans un ascenseur puis sur un canot de sauvetage. Et là, ce fut le drame. On parle trop fort, tous en même temps et on ne s'écoute pas. On devrait s'entraîner à ça. C'est super dur et c'est vite le souk. Argh. On va y arriver. Si si ! J'ai pas dit quand, hein.
Puis David nous a lâché pour trois semaines dans la nature. Le 23 février, c'est cabaret impro et on y sera !! Les cours reprennent le premier lundi de mars. C'est loin. On devrait se réunir et s'entraîner entre nous, non ?
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